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Sunday, 2 April 2023 at 11:14
Item n°1746733531
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Sunday, 26 May 2024 at 10:15
1) Mon régiment - ma patrie ! 17 PAGES
Il y a 20 ans (souvenirs des soldats du front d'alber)
WILLI DFAU STUTTGART
Poids 1
2ème épisode
Expériences des combattants de première ligne allemands
Deutscher Wochenschrift-Verlag, Dept. Comradeship-Verlag Stuttgart-W, Senefelderstrasse 69/71
Mon régiment
Mon pays d'origine
paraît annuellement dans 12 numéros mensuels avec 12 suppléments et feuilles d'art. Le prix de l'abonnement est de RM. 3,60 semestriellement (frais de port en sus). Publié sous la direction responsable de W. Blascheck, Stuttgart. Les auteurs sont responsables du contenu factuel des contributions.
Éditeur : Deutscher Wochenschrift-Verlag, Dept. Kameradschaft-Verlag, Stuttgart-W, Senefelderstrasse 69 71 Impression : Buchdruckerei G. Mohr, Stuttgart-Bad Cannstatt, Wilhelmstrasse. 26 clichés : Gustav Reisacher, Stuttgart - Berlin
Tirage de ce numéro : 5000
2) Église de Bezelaere (feuille commémorative) bem R.3.R. 247 dédiés.
inoubliable. Bon Hans Pacyna
avec des dessins de W. Pfau
Expériences de guerre parallèles par Georg Ott
avec des dessins de W. Pfau Le parapluie
Une farce souabe
Feldgrauer Humour
Ce que nous voulons
Nouveaux livres
signé par W. Pfau
3) Prisonnier de guerre à 18 ans.
( 16 PAGES )
Par F Mader.
Attrapé!
Le crépuscule tomba lentement. Nous étions étendus là, serrés contre le bord d'un entonnoir sur le talus. A 20 mètres à peine devant nous, au pied de la barre de pierre, des Français parlaient. Au moins une centaine d'hommes gisaient là, une grosse compagnie ou un garde champêtre ! Dans la vallée la brume montait déjà, là coulait l'Arnes. Dans la zone intermédiaire, foxhole après foxhole. Sur la pente de l'autre côté, au-dessus de la brume qui brassait, des mitrailleuses lourdes devaient être installées, et les obus sifflaient très bas au-dessus de nous. Derrière eux, dans la pénombre, éclatent les éclairs de bouche de l'artillerie ennemie. Les grenades sont venues en hurlant, dans la bande de forêt derrière
prenant notre première ligne. Ce devait être les balles qui nous avaient tant dérangés. J'ai rapidement sorti une liasse de papier et j'ai dessiné l'ennemi
différents postes. Kreiser était allongé à côté de moi, regardant attentivement devant moi. Les Français ont continué à parler, heureusement qu'ils ne nous avaient pas remarqués dans la pénombre. A la lisière de la forêt, Bürkert s'assura sur le côté. Alors que je dessinais rapidement, j'ai dessiné une image de la joie du commandant de la compagnie devant le succès inattendu du
patrouiller. Là, derrière nous, un bruit !
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